samedi 9 mai 2015, par
En effet, le blocus naval et aérien de l’ennemi est, maintenant, à peu près complet.
A partir du milieu d’avril, la possession de la plaine côtière orientale et de ses terrains d’aviation a permis aux Alliés de mettre à profit leur supériorité aérienne. Dès le 18 avril, une éclatante manifestation de cette supériorité a été donnée dans la région du cap Bon, où les chasseurs britanniques interceptèrent une grosse formation d’avions de transport allemands, abattant 50 appareils, c’est-à-dire la quasi-totalité de la formation.
Quant aux navires de l’Axe, l’accès de Tunis et de Bizerte leur est interdit depuis longtemps.
Si acérées que soient encore leurs griffes et si farouche que soit leur résolution, les soldats de l’Axe, dans leur box, apparaissent déjà comme des rats dans une trappe. Mais leur capture pourrait tarder. Or le haut commandement allié, qui prépare le débarquement en Sicile, a besoin de disposer des ports de Tunis et de Bizerte pour le 15 mai. C’est donc le délai limite qu’il fixe au général Alexander pour la liquidation des armées ennemies de Tunisie.
Pour s’y conformer, le commandant du XVIlle groupe d’armées, estimant trop difficile une progression dans la zone de la Ville armée au nord d’Enfidaville, décide de porter son effort dans celle de la Iere armée, contre la face ouest du réduit.
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