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Cyrus II

, par

Sauf précision contraire, les dates de cette page sont toutes sous-entendues « avant Jésus-Christ ».

Cyrus II († 529 av. J.-C.), dit Cyrus le Grand, est le fondateur de l’Empire perse, successeur de l’Empire mède. Il appartient à la dynastie des Achéménides.

Légendes de naissance

Grands Rois Achéménides

* Cyrus II (-559(-550 ?)/-529(-530 ?))
* Cambyse II (-529/-522)
* Bardiya (-522/-522)
* Darius Ier (-522(-521 ?)/-486)
* Xerxès Ier (-486(485 ?)/-465)
* Artaxerxès Ier (-465/-424)
* Xerxès II (-424/-424)
* Sogdianos (-424/-424(-423 ?))
* Darius II (-424(-423 ?)/-404(-405 ?))
* Artaxerxès II (-404/-359)
* Artaxerxès III (-359(-358 ?)/-338)
* Arsès (-338/-336)
* Darius III (-336/-330)

La naissance de Cyrus fait l’objet de légendes orales qui entourent traditionnellement en Mésopotamie les figures de fondateurs, à l’instar de Sargon d’Akkad.

Selon Hérodote (I, 107-130), Cyrus II est le fils de Cambyse Ier, fils du roi perse Cyrus Ier, et de Mandane, fille du roi mède Astyage. Or Astyage a vu en rêve que son petit-fils deviendrait roi à sa place : il ordonne à Harpage, l’un de ses parents, de faire disparaître l’enfant. Harpage, ne voulant pas en être le meurtrier, le confie à Mithridatès, bouvier royal de la cour mède. La femme de celui-ci, qui vient de perdre un enfant mort-né, le convainc de ne pas exposer le bébé aux bêtes fauves, mais de le garder et de l’élever comme leur enfant. Mithridatès subsitue donc à Cyrus son fils mort-né, dont il abandonne le corps dans la montagne, paré des habits du prince. La ruse est découverte lorsque Cyrus a dix ans : lors d’un jeu dans lequel il tient le rôle de roi, il a sévèrement puni le fils d’Artembarès, dignitaire mède. Celui-ci le dénonce à Astyage, qui reconnaît son petit-fils. Pour se venger d’avoir été trahi, le roi sert à Harpage les restes de son propre fils lors d’un festin. Puis, les mages ayant assuré qu’il n’a plus à redouter, Cyrus ayant porté le nom de roi, il renvoie le garçon auprès de ses parents véritables.

Selon une autre version, rapportée par Justin (I, 4, 10), Cyrus bébé, abandonné par Mithridatès dans la montagne, est recueilli par une chienne qui le nourrit et le défend contre les bêtes sauvages. Enfin, une troisième version, probablement recueillie par Ctésias et rapportée par Nicolas de Damas, veut que le père de Cyrus ait été un dénommé Atradatès, de l’ethnie méprisée des Mardes, brigand de son état - et sa mère, une gardeuse de chèvres. « Donné » à l’échanson royal Artembarès, Cyrus finit par en être adopté et par en hériter la charge.

Si l’on écarte les éléments mythiques, il semble certain que Cyrus II est l’héritier de la dynastie achéménide des rois d’Anshan, qu’on a localisé dans la plaine de Marvdasht, dans le Fars.

La constitution de l’Empire perse

La guerre médo-perse

Vers 553, une guerre éclate entre Astyage et Cyrus. Les sources babyloniennes (le Songe de Nabonide et la Chronique de Nabonide) et grecques ne s’accordent pas sur la responsabilité du conflit. Si Hérodote présente la marche contre Ecbatane du fait de Cyrus, la Chronique indique qu’Astyage « mobilis[e] [son armée] et il march[e] contre Cyrus, roi d’Anshan, en vue de la conquête. » Toujours est-il qu’il s’ensuit une guerre médo-perse de plusieurs années.

Astyage a placé Harpage à la tête de l’armée mède : ce dernier trahit son souverain et exhorte l’armée à faire de même lors de la première bataille, qui voit une victoire des armées perses. Cependant, contrairement à ce que prétend Hérodote (I, 130), cette bataille ne suffit pas à emporter la décision. Selon Ctésias (utilisé par Diodore, IX, 23), Astyage renvoie alors ses officiers, en nomme de nouveau et prend lui-même en main la conduite de la guerre. Selon Nicolas de Damas et Polyen (VII, 6-9), les combats sont violents en Perse, particulièrement près de Pasargades. Cependant, Cyrus finit par retourner la situation et remporte la victoire. Il se lance alors dans la conquête de la Médie, et Ecbatane finit par tomber vers 550.

Cyrus épargne Astyage, qui conserve un train de vie princier, et se pose même comme son successeur : selon Ctésias et Xénophon, il épouse sa fille Amytis. L’Empire mède passe ainsi entièrement sous le contrôle perse.

La conquête de la Lydie

On ne connaît pas précisément les campagnes que mène Cyrus dans les années suivant sa victoire sur Astyage. Mais c’est probablement vers 547 que Crésus, roi de Lydie, attaque l’empire perse : selon Hérodote (I, 46),

« L’empire d’Astyage, fils de Cyaxare, détruit par Cyrus, fils de Cambyse et celui des Perses, qui prenait de jour en jour de nouveaux accroissements, lui firent mettre un terme à sa douleur (liée à la mort de son fils Atys). Il ne pensa plus qu’aux moyens de réprimer cette puissance avant qu’elle devînt plus formidable. »

La volonté de conquête s’ajoute à ces motifs de prudence : Hérodote explique plus loin que « Crésus partit donc avec son armée pour la Cappadoce, afin d’ajouter ce pays à ses États (...) et par le désir de venger Astyage, son beau-frère » (I, 73). Le Lydien s’est préparé en interrogeant l’oracle de Delphes lequel, comme à son habitude, a fourni une réponse ambiguë, lui assurant que « s’il entreprenait la guerre contre les Perses, il détruirait un grand empire » (I, 53), et lui conseillant de rerchercher « l’amitié des États de la Grèce qu’il aurait reconnus pour les plus puissants » (ibid.). Aussitôt, Crésus avait noué un traité d’alliance avec Sparte.

La contre-attaque de l’armée perse ne se fait pas attendre. Lorsque Cyrus arrive en Cappadoce, il propose à Crésus de devenir satrape de Lydie, autrement dit d’accepter la domination perse, mais celui-ci refuse. Crésus est confiant, car il a passé des alliances non seulement avec Sparte mais aussi avec l’Égypte d’Amasis et Babylone - mais celle-ci n’intervient finalement pas dans le conflit. De son côté, Cyrus a demandé aux cités grecques d’Ionie de faire défection, mais sans succès (Hérodote, I, 76).

Après la bataille du Halys en Cappadoce, Crésus, qui ne s’avoue pas vaincu, fait marche arrière. L’hiver étant venu, il démobilise son armée et espère pouvoir profiter de la mauvaise saison pour mettre sur pied une armée encore plus puissante. Contre toute attente, Cyrus lance son offensive en plein hiver ; après de nombreuses batailles, il finit par forcer Crésus à se réfugier dans sa citadelle de Sardes. Au quatorzième jour du siège, la ville tombe (probablement en 546).

Comme pour Astyage, Cyrus laisse la vie sauve à Crésus, lui attribuant les revenus d’une ville de la côte pour maintenir son train de vie. Les cités grecques d’Asie mineure refusent quant à elles de se rendre, mais des révoltes à Babylone et en Asie centrale obligent Cyrus à rentrer en urgence à Ecbatane. Il confie la charge de lever les tributs à un Lydien, Paktyès ; celui-ci se révolte, rassemble les Lydiens et marche sur Sardes. Cyrus dépêche son général Mazarès régler l’affaire ; il finit par capturer Paktyès, et met complètement l’armée lydienne sous commandement perse. Mazarès commence à conquérir une à une les cités grecques ; puis, à la mort du général, Cyrus envoie Harpage achever la conquête, qui dure quatre ans.

La conquête de l’Asie centrale [modifier]

Après son départ de Sardes, Cyrus se dirige vers la partie orientale de son empire ; malgré l’acte d’allégeance des peuples d’Asie centrale après le renversement d’Astyage, plusieurs tribus se sont en effet soulevées. On ne connaît pas la chronologie des nouvelles conquêtes que Cyrus accomplit, mais lorsqu’il marche sur Babylone en 540 se sont ajoutés à son empire la Parthie, la Drangiane, l’Arie, la Chorasmie, la Bactriane, la Sogdiane, le Gandhara, la Scythie, la Sattagydie, l’Arachosie et le Makran.

La conquête de Babylone

Le royaume néo-babylonien de Nabonide est le second grand rival de l’Empire perse constitué par Cyrus. De fait, les hostilités avec Babylone ont certainement commencé au cours des années 540 ; à la fin de cette décennie, la guerre ouverte éclate. Bénéficiant du soutien d’Ugbaru, gouverneur babylonien du pays de Gutium[2], l’armée de Cyrus remporte une première victoire à Opis (10 octobre 539), puis à Sippar, et enfin assiège Babylone où s’est retranchée l’armée du roi Nabonide. La ville est puissamment fortifiée, et dispose de suffisamment de réserves pour soutenir un long siège. Les Perses détournent alors le cours de l’Euphrate pour permettre à une petite troupe sous la conduite d’Ugbaru de s’emparer des citadelles, alors que les Babyloniens célèbrent une grande fête religieuse. Quatre jours plus tard, le 12 octobre 539, Cyrus fait son entrée dans la ville. Là encore, Nabonide est épargné.

Selon deux textes cunéiformes, le Cylindre de Cyrus et le Panégyrique de Cyrus, Nabonide était un roi impie, qui avait abandonné le culte de Mardouk : Cyrus au contraire ramène les idoles chassées dans les temples de Babylone, et entreprend de grands travaux de restauration des remparts, des temples et des bâtiments civils. En fait, il est plus probable que Cyrus se soit accaparé les réalisations de Nabonide, celui-ci étant connu comme un roi bâtisseur.

L’Ancien Testament raconte comment Cyrus autorise les Judéens exilés à Babylone à rentrer à Jérusalem, et donne l’ordre de reconstruire le Temple détruit lors de la prise de la ville par Nabuchodonosor. Présenté comme le protégé de Mardouk par le Cylindre, Cyrus devient l’oint de Yahvé dans le Livre d’Isaïe : « Ainsi parle l’Éternel à son oint, à Cyrus, qu’il tient par la main, pour terrasser les nations devant lui, et pour relâcher la ceinture des rois, pour lui ouvrir les portes, afin qu’elles ne soient plus fermées. » (45:1-3).

Mais la Judée a été considérablement appauvrie dans l’intervalle, et seule la fondation du Temple peut avoir lieu sous le règne de Cyrus. La Judée ne redevient pas un royaume indépendant, mais une province de l’Empire perse, qui sert les intentions stratégiques de Cyrus face à l’Égypte. Toute la région conquise fut réunie en une seule et immense satrapie réunissant Babylone, la Syrie, et la Palestine.

Le cylindre de Cyrus

Après sa prise de Babylone, Cyrus a publié une déclaration, inscrite sur un cylindre d’argile connu sous le nom de cylindre de Cyrus, et contenant une description de ses victoires et actes compatissants, aussi bien qu’une documentation de sa lignée royale. Il a été découvert en 1879 à Babylone, et est aujourd’hui conservé au British Museum. Bien que le cylindre reflète une longue tradition mésopotamienne selon laquelle, dès le IIIe millénaire av. J.-C., des rois tels qu’Urukagina ont commencé leurs règnes par des déclarations des réformes, le cylindre de Cyrus est largement mentionné comme la « première charte des droits de l’homme ». En 1971, l’ONU l’a traduit dans toutes ses langues officielles. Le cylindre décrète les thèmes normaux de la règle persane : tolérance religieuse, abolition de l’esclavage, liberté du choix de profession et expansion de l’empire.

Édit de Cyrus le Grand

"Je suis Cyrus, roi du Monde, grand roi, puissant souverain, roi de Babylone, roi de la terre d’Akkad et de Sumer, roi des quatre points cardinaux, fils de Cambyse, grand roi d’Anshan, petit-fils de Cyrus, grand roi, roi d’Anshan, fondateur d’une lignée royale, celui dont Bel et Nabou chérissent le règne, celui dont le règne réjouit leur cœur. Lorsque j’entrai dans Babylone avec l’esprit le mieux disposé, j’installai mon pouvoir dans le palaIs royal au milieu de la plus complète satisfaction et d’un regain de joie. Marduk, dieu suprême, fut à l’origine de l’attachement des Babyloniens à ma personne. Chaque jour je n’oubliais pas de lui rendre grâce. Mon armée s’installa sans difficulté au milieu même de Babylone. Je ne laissai aucun de mes soldats semer la terreur sur la terre d’Akkad et de Sumer. Je gardai à l’esprit les besoins de Babylone et de ses nombreux lieux de culte pour leur assurer une vie paisible. Je supprimai le joug malséant qui pesait sur les Babyloniens. Je redonnai vie à leurs habitations laissées à l’abandon. Je mis un terme à leur malheur. Considérant mes actes, Marduk, suprême souverain, se réjouit, accordant sa bénédiction à ma personne ainsi qu’à celle de mon fils Cambyse, chair de ma chair, ainsi qu’à mon armée ; et pour notre part, nous rendîmes grâce à sa glorieuse divinité. Tous les rois sédentaires assis sur leur trône partout à travers le monde, de la mer supérieure à la mer inférieure, et tous les rois nomades de la terre occidentale, tous me payaient un impôt important et baisaient mon pied dans ma ville de Babylone. Je restaurai et confortai partout les divinités dont les cultes avaient été abandonnés sous la domination des Tigris, dans les villes d’Ashur et Suse, à Agade, Eshnuna, Zamban, Meurnu, Der, et jusque sur la terre de Gutium. Je rassemblai tous les habitants et relevai leurs maisons. Conformément au souhait de Marduk, le Dieu Puissant, je laissai sans les inquiéter demeurer dans leurs temples les divinités de Sumer et d’Akkad que Nabonide, causant alors la fureur du dieu des dieux, avait fait entrer dans Babylone. Puisse chacun des dieux dont j’ai conforté le culte intercéder quotidiennement en ma faveur auprès de Bel et de Nabou, pour prolonger mes jours ; et puissent-ils parler de moi en ces termes : « Fasse que Cyrus, le roi pieux et son fils Cambyse... "

La mort de Cyrus

La fin de la vie de Cyrus est mal connue ; on sait seulement qu’il lance une campagne contre les Massagètes d’Asie centrale. Il meurt pendant cette campagne, en 530 ou 529. Son fils Cambyse, qu’il a désigné comme successeur (Hérodote, I, 208), fait ramener son corps à Pasargades, où il repose dans le tombeau qu’il a fait construire de son vivant (Ctésias §8). Le monument est encore visible aujourd’hui.


sources :wikipedia

Messages et commentaires

  • pourquoi parlez -vous de la judée, puisque J. C dit l’araméen n’existe pas à cette époque et donc Juda non plus et donc la judée non plus. Je pense qu’il ne faut pas tenir compte de certains bouquins bibliques écrits et rééécrits qui sont sources de faussetées évidentes. dans un but de tromper etde donner une importance à certains qui n’en avaient aucune.De plus il est évident que les hébreux n’ont jamais existé et qu’ils étaient simplement un petit groupe d’assyriens peut -être un petit groupe de hyksos, de ceux qui se sont fait virrer d’Egypte , tout en sachant que jamais il n’y a eu d’esclaves en Egypte, donc point de moïse non plus et sachant que le dieu jaho/yahvé/el schaddaï était le dieu sauvage du sorcier d’une tribu qui squattait dans le sina ( sinaï)ce sorcier était connu pour soit disant faire des miracles à travers des sacrifices humains destinés à ce dieu sauvage, il avait introduit la circoncision, pour ces adeptes,il exigea de nombreux sacrifices humains, beaucoup de guerres ,il fit un pacte probablement avec ce groupe d’hyksos qui ce sont trouvé sur le chemin de ce sorcier dans le sina.donc cette tribu du sorcier( son nom inconnu ou interdit de le nommer)associés à ce groupe d’hyksos, firent de nombreux génocides, de nombreux massacres, crimes, pillages , viols, incestes et autres atrocités, en échange de la promesse de ce sorcier de les faire reigner sur tous les territoires qu’ils auraient conquis ainsi,jamais aucun n’étant puni de ces crimes, au contraire puisque ces yahvé qui ordonne ces méfaits par la voix du sorcier.Il va donc de soit que Cyrus n’a aucun cas été le oin de ce yahvé, qui devrait s’appeler Mordekhaï (Mardoschée)d’après le plus grand malfaiteur de l’écriture dite sainte, dont personne ne sait pourquoi elle s’appelle sainte, alors qu’elle devrait s’appeler l’histoire criminelles de ..même après avoir été transformé en judaïsme etc etc. par des écrivains menteurs. Un cathos très connu c’était adressé à ce sujet à un haut placé del’église catholique en lui disant qu’il ne comprenait pas comment étaient arrivés à partir d’un moment cette religion dite judaïste dans des bibles, alors que dans des bibles écrites et imprimées avant et correspondant à l’époque de jésus , elle n’existait pas. et ensuite et la de façon très explicite, il dénonçait ensuite l’arrivée de jew dans les bibles et dénonçait le fait que c’était des anglais qui avaient inventé ce mot en 1775 , puis l’avaient fait introduire dans des bibles qui avaient été imprimées par tonnes et distribuées à grand renfort, il dénonçait celà avec force de preuves et explications que jamais avant ces dates aux environs de 1800 je ne sais plus exactement il n’y avait de juifs dans la bible , très polie et fort bien écrite cette lettre, mais il était clair que l’église catholique de rome et lui c’était fini. Aussi, Je doute très fortement que les iraniens naturei karta soient les descendants d’une telle bande ça n’est même pas un doute d’ailleurs , aussi je comprend fort bien le président Iranien qui est très très très loin d’être un inculte .J’espère que vous prendrez bien connaissance, de mon commentaire, car je vois de plus en plus de texte sur le net. ou il des ajouts de ce genre à tord et à travers, par ex. texte chez les amis d’hérotode, qui parle donc de Perse période Cyrus " qui a donné naissance au premier empire à vocation universelle etc. donc avant Jc donc forcément avant juda = judaisme. Partie du texte " Dans l’Antiquité domine le mazdéisme (de Mazda, Dieu, dans la langue perse), aussi appelé zoroastrisme parce que fondé par le prophète Zarathoustra (ou Zoroastre) au VIIe siècle avant JC. Il prospère sous les Achéménides (les héritiers de Cyrus)
    Le judaïsme est présent en Iran dès l’époque des Achéménides, Cyrus le Grand lui-même ayant accueilli des Hébreux après leur exil de Babylone
    Vous rendez vous compte de cette bourde !!! et ce genres de bourdes ou méconnaissances et illogisme flagrand, qui tompent tout le monde, sont de très graves mensonges, et j’ai remarqué qu’elles sont de plus dans des textes qui sont censés êtres historiques et véridiques, c’est très très grave surtout de nos jours. Et vis à vis de l’Iran et de tous les Iraniens c’est une très très grave insulte.je vous passe les autres bourdes.

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