samedi 20 février 2016, par
Le régiment d’infanterie chars de marine (RICM) est un régiment blindé français, héritier du régiment d’infanterie coloniale du Maroc.
Créé en juin 1915, puis nommé ainsi en décembre 1958, par le changement de nom du régiment d’infanterie coloniale du Maroc, il fait partie de l’arme des troupes de marine et est de spécialité cavalerie légère blindée. Le RICM est le régiment le plus décoré de l’armée française. Il appartient à la 9e brigade légère blindée de marine (9e BLBMa). Depuis juillet 1996, il est basé à Poitiers au Quartier Ladmirault.
Août 1914, création du 1er régiment mixte d’infanterie coloniale,
En décembre 1914, il devient 1er régiment de marche d’infanterie coloniale,
Le 9 juin 1915, création du régiment d’infanterie coloniale du Maroc,
En mai 1956, par changement d’appellation, il devient le régiment d’infanterie chars de marine.
Jeune régiment, il naît à Rabat au Maroc au début du mois d’août 1914 sous l’appellation de 1er régiment mixte d’infanterie coloniale. En décembre, il devient le 1er régiment de marche d’infanterie coloniale. Le 17 août 1914, il débarque, puis est aussitôt engagé sur le front français au tout début de la Première Guerre mondiale. Le RICM, régiment d’infanterie coloniale du Maroc, est officiellement créé le 9 juin 1915. Comme le souligne Gaston Gras, ancien soldat de ce régiment, le régiment d’infanterie coloniale du Maroc était composé principalement de français originaires de toutes les régions de la France métropolitaine, Gaston Gras parle de Normands, de Bretons, de Parisiens, de Basques et d’Auvergnats, etc. Le régiment d’infanterie coloniale du Maroc n’est donc pas un régiment de tirailleurs. C’est un régiment de l’infanterie coloniale, donc en l’occurrence de l’infanterie de marine française. C’est dans son ouvrage intitulé "la reprise de Douaumont" que Gaston Gras évoque la composition de son régiment. Toutefois, Gaston Gras indique que pour certaines missions des auxiliaires sénégalais ou somaliens y furent rattachés.
Quatre années durant, le régiment livre des combats qui feront de son emblème le plus décoré de l’armée française avec 10 citations à l’ordre de l’armée.
En octobre 1916, renforcé de Tirailleurs sénégalais et somalis, le RICM s’empare du fort de Douaumont. Pour ce fait d’armes, il obtient la Légion d’honneur et sa troisième citation à l’ordre de l’armée :
« Le 24 octobre 1916, renforcé du 43e bataillon sénégalais et de deux compagnies de Somalis, a enlevé d’un admirable élan les premières tranchées allemandes ; a progressé ensuite sous l’énergique commandement du colonel Régnier, brisant successivement la résistance de l’ennemi sur une profondeur de deux kilomètres. A inscrit une page glorieuse à son histoire en s’emparant d’un élan irrésistible du fort de Douaumont, et conservant sa conquête malgré les contre-attaques répétées de l’ennemi. »
Au cours de la grande guerre le RICM aura perdu 15 000 marsouins (tués ou blessés) dont 257 officiers. Son drapeau ne portera pas moins de 10 palmes sur la croix de guerre 14-18, la Légion d’honneur (pour un fait similaire à la prise d’un emblème de haute lutte à l’ennemi qui sera la conquête du fort de Douaumont le 24 octobre 1916), la médaille militaire (le 5 juillet 1919), l’Ordre de la Tour et de l’Épée.
Le régiment sera stationné en Rhénanie de 1918 à 1925 avant de rejoindre le Maroc.
Il est envoyé au Maroc, dans le Riftout d’abord entre 1925 à 1926, puis de 1927 à 1932 en opération dans le sud du pays. Durant ces deux années, 94 marsouins (dont 8 officiers) tomberont, 275 seront blessés (dont 7 officiers) ainsi que 10 disparus.
C’est durant cette période que le sultan décerna la croix du mérite militaire chérifien au drapeau.
Le 3e bataillon et le groupe franc du RICM seront décorés de la croix de guerre des T.O.E. (théâtre des opérations extérieures) à l’ordre de l’armée.
En Charente le 23 juin 1940, le RICM combattait encore à La Hayes-Descartes le 24 juin. Commandé par le colonel Avre, le régiment combattait depuis dix jours et avait perdu beaucoup d’hommes lorsqu’il se trouva à la hauteur de Civray au sud de l’Esvre, petit affluent de la Creuse. Deux petits détachements, commandés par le lieutenant Stevenson, officier des transmissions, et le capitaine Alfred Loudes (Saint-Cyr promotion Bayard), adjoint au colonel, manœuvrèrent pour défendre le poste de commandement et réussirent à s’emparer de plusieurs engins ennemis. Ces combats lui ont couté 600 tués, blessés ou disparus durant les combats d’Amboise.
Pendant la période d’armistice, en zone libre, le 2e RIC stationne à Perpignan et le21e RICà Fréjus, Toulon et Marseille. Le RICM fut reconstitué en Afrique du Nord, ainsi que le 43e RIC.
Printemps 1943, la9e DIC fut mise au point par le général Blaizot et son régiment de reconnaissance fut le fameux RICM de Rabat, lorsque fin avril elle embarqua pour la Corse. C’était une formation solide qui allait entrer en lice. Le 17 juin 1944, elle partit à la conquête de l’île d’Elbe et ce coup d’essai fut concluant. Deux mois plus tard, c’était le débarquement de Provence à la Nartelle, la chute de Toulon, puis le regroupement à Vierzon.
Le RICM est le premier à atteindre le Rhin, l’aspirant Delayen trempe le fanion de son escadron à Rosenau le 20 novembre 1944. Fin novembre, le RICM monte à Mulhouse. La 9e DICs’empare de près de deux cents villes ou villages, parcourant environ trois cents kilomètres, anéantissant cinq divisions allemandes.
La campagne de la libération coûte au RICM 54 marsouins (dont 2 officiers), 143 blessés (dont 6 officiers).
Deux citations à l’ordre de l’armée viennent alourdir la cravate de son drapeau.
Une décoration américaine, la Distinguished Unit lui est décernée avec le droit au port permanent pour l’excellence de son comportement lors des combats dans la trouée de Belfort, Mulhouse, et Seppois-le-Bas.
Le 4 novembre 1945, les premiers éléments du régiment arrivent à Saigon. Dès le 6 novembre le régiment subit sa première perte en terre indochinoise.
Le RICM sera quasiment de toutes les opérations : opération Gaur (1946), opérations de contrôle en Cochinchine et Sud Annam (1946 à 1947), au Cambodge (1946 à 1947), au Tonkin (1946 à 1947, opération Léa (Lang-Son, Cao-Bang, Bac-Kan), Haute région (février 1948 à février 1951), opérations dans le Delta (janvier 1948 à février 1951), le Tonkin (1952-1954), Dien Bien Phû (pour le 2e peloton du 1er escadron) et mènera les derniers combats jusqu’en juillet 1954.
Le groupement blindé du Tonkin sera décoré également à l’ordre de l’armée tout comme le 1er, le 4e escadron, l’escadron de vedettes (celui-ci sera également décoré à l’ordre de l’armée de mer) ainsi que le groupe d’escadrons de marche. Une citation à l’ordre du corps d’armée viendra honorer également les 2e, 3e, 5e( 2 fois cité à ce niveau), le bataillon de marche du RICM, le groupe d’escadrons de marche du RICM ainsi que le 2e peloton du 1er escadron. Enfin le 4e escadron recevra également une citation à l’ordre de la division.
Au total 15 citations seront décernées à des unités du RICM durant cette guerre et 5 au régiment.
Elle aura couté 1300 marsouins (dont 57 officiers et 167 sous-officiers tués ou blessés).
En mai 1956, le Régiment d’infanterie coloniale du Maroc (RICM) rejoint l’Algérie. En 1958, alors que les Troupes coloniales redeviennent « Troupes de Marine », il garde ses initiales en souvenir de ses faits d’armes. Il devient alors le Régiment d’infanterie chars de marine, seule unité TDM (troupes de marine) à combattre sur blindé léger. Le 1er RIMa le rejoint dans cette spécialité en 1986. Les cadres du régiment sont formés à l’École d’application de la cavalerie, à Saumur
À l’issue du cessez-le-feu en Algérie du 19 Mars 1962, 114 unités de la force locale de l’ordre algérienne ont été créés dans toute l’Algérie. Elles furent constitués de 10 % de militaires français de métropole et 90 % de militaires algériens musulmans, qui pendant la période transitoire devaient être au service de l’exécutif provisoire Algérien, jusqu’à l’indépendance de l’Algérie(source Archives Historiques du Ministère de la Défense). Le RICM à constitué la 513ème unité de la force locale de l’ordre Algérienne pour la période transitoire. (Accords d’Evian)
Le retour en garnison en métropole
Il est cantonné à Vannes de 1963 à 1996, depuis septembre 1996 il est actuellement basé à Poitiers.
En 1978 et 1979, le RICM participe à l’opération Tacaud au Tchad. En avril 1978 deux marsouins sont tués, ainsi que plusieurs blessés à la bataille de Salal, le premier combat de cette opération. En octobre de la même année, c’est l’accrochage de "Forchana" puis le 4 novembre l’engagement de "Katafa" : quatre militaires sont très sérieusement touchés. À la mi-décembre le combat de Foundouck verra différents personnels engagés atteints gravement. Au début de l’année 1979, le 5 mars, c’est l’assaut d’Abéché,l’offensive des rebelles d’Ahmat Acyl échoue et la colonne est anéantie par le groupement français et les FAN, un marsouin du 1er escadron sera tué, plusieurs blessés. Le bilan est de plus de 400 rebelles tués (800 armes et 50 véhicules saisis) par les FAN et le groupement français composé du RICM et d’unités du 3ème Rimaet du 11ème Rama . Par la suite, plusieurs pelotons seront détachés dans la capitale afin d’éviter des affrontements inter-ethniques. Au cours de tous ces combats de lourdes pertes seront infligées aux forces rebelles et un nombreux matériels (armes et véhicules) récupéré ou détruit. Parallèlement de mars à septembre 1978 le 1er escadron fait partie du premier détachement de la FINUL au sein du groupement du 3ème Rpima. Lors des accrochages contre certaines factions palestiniennes du 2 mai 1978 un marsouin sera tué et plusieurs seront blessés gravement. Une citation à l’ordre de l’armée sera attribuée en octobre 1978 au RICM pour ses engagements au Liban et au Tchad en 1978. Fin 1979 c’est l’opération « Barracuda » qui permet l’éviction à la tête de la République centrafricaine de l’Empereur Bokassa, puis l’installation des éléments « Tacaud » quittant le Tchad à Bouar et Bangui. Lors de ces évènements les commandants d’unités furent : (1er escadron : capitaine Delort, 2e escadron : capitaine Clerc puis capitaine de Zuchowicz, 3e escadron : capitaine Sirot ).
Par la décision ne118 du 25 octobre 1978, les actions menées par le régiment au profit d’un pays lié à la France par des accords de coopération et pour celles au profit de la Force Intérimaire des Nations Unies au Liban se voient récompensées par l’attribution d’une 18e citation à l’Ordre de l’Armée
En 1990 et 1991, il intervient dans l’opération Salamandre puis dans la phase active de la guerre du Koweït.
En 1992, il fournit le noyau du premier frenchbat (bataillon français) de Sarajevo, à partir du RICM renforcé de la 1re compagnie du 2e RIMa en ex-Yougoslavie, où il perd 4 hommes, et s’illustre notamment lors du combat du pont de Vrbanja à Sarajevo, le 27 mai 1995.
En 1994, il est engagé dans l’opération Turquoise au Rwanda.
En 2004, le RICM prend la tête du Groupement Tactique Interarmes Ne1 de l’opération Licorne en Côte d’Ivoire. Le 6 novembre, un bombardement mené par l’aviation ivoirienne sur le lycée Descartes à Bouaké tue neuf soldats français et un civil américain réfugié sur cette emprise occupée par le Train de Combat Ne2 du groupement. Cinq marsouins du RICM seront tués (adjudant-chef Barathieu, adjudant-chef Capdeville, sergent-chef Delon, sergent Derambure, caporal Decuypère) et une trentaine d’autres blessés.
Au nom de Dieu, vive la coloniale. Les marsouins et les bigors ont pour saint patron Dieu lui-même. À l’origine de cette expression, Charles de Foucauld, missionnaire, qui, un jour qu’il était en difficulté avec une population autochtone vit arriver à son secours les unités coloniales. Il s’exclama heureux « Au nom de Dieu, vive la coloniale ! », soulagé de voir ses sauveurs. La fête de l’arme des troupes de marine a lieu le 31 août et le 1er septembre, anniversaire de la bataille de Bazeilles (division bleue). Le 31 août est l’occasion du rassemblement de l’ensemble des unités à Fréjus où l’on trouve le Musée des troupes de marine. Le 1er septembre, les amicales d’anciens combattants organisent la cérémonie à Bazeilles dans les Ardennes.
« Recedit immortalis certamine magno », qui signifie en français : Il revint immortel de la grande bataille
Le RICM est le régiment le plus décoré de l’armée française. Son drapeau porte :
la croix de la Légion d’honneur5 ;
la médaille militaire ;
la croix de guerre 1914-1918 avec dix palmes ;
la croix de guerre 1939-1945 avec deux palmes ;
la croix de guerre des théâtres d’opérations extérieures avec cinq palmes ;
la croix de la valeur militaire avec deux palmes ;
l’ordre portugais de la Tour et de l’Epée ;
le mérite militaire Chérifien ;
la cravate bleue de la Presidential Unit Citation américaine.
Les marsouins du RICM portent :
la fourragère double aux couleurs de la Légion d’honneur et de la Croix de guerre (récompensant ses dix citations à l’ordre de l’armée pendant la Première Guerre mondiale), avec une olive aux couleurs de la croix de guerre 1939-45 (récompensant ses deux citations pendant la Seconde Guerre mondiale) ;
la fourragère aux couleurs de la médaille militaire avec olive aux couleurs de la croix de guerre des TOE (récompensant ses cinq citations lors des conflits extérieurs) ;
le Blue badge ou Distinguished Unit Citation (Presidential Unit Citation à partir du 10 janvier 1957) américain avec inscription Rosenau sur la cravate du drapeau.
Le drapeau du RICM est le plus décoré de tous les drapeaux de l’armée Française. Le régiment a obtenu sa 19e citation à l’ordre de l’armée en 2012 pour ses actions en Côte d’Ivoire.
Régiment d’infanterie coloniale du Maroc
Lieutenant-colonel Pernot : 1914
Lieutenant-colonel Larroque : 1914-1915
Lieutenant-colonel Régnier : 1915-1917
Lieutenant-colonel Debailleul : 1917-1918
Lieutenant-colonel Modat : 1918-1918
Lieutenant-colonel Ozil : 1919
Colonel Mouveaux : 1919-1922
Colonel Duplat : 1922-1924
Colonel Barbassat : 1924-1927
Lieutenant-colonel de Scheidhauer : 1927-1930
Colonel de Bazelaire de Ruppierre : 1930-1932
Colonel Petitjean : 1932-1933
Colonel Deslaurens : 1933-1935
Colonel Allut : 1935-1938
Colonel Turquin : 1938
Colonel Avre : 1940
Colonel Panis : 1940
Colonel Lupy : 1940-1941
Lieutenant-colonel Kieffer : 1941-1942
Lieutenant-colonel Magnan : 1942
Lieutenant-colonel Hebpeard : 1942
Colonel Thiabaud : 1942-1943
Colonel Le Puloch : 1943-1945
Colonel de Brébisson : 1945-1946
Chef de bataillon de La Brosse : 1946-1947
Chef de bataillon Deysson : 1947
Lieutenant-colonel Mareuge : 1947-1949
Lieutenant-colonel Capber : 1949-1950
Lieutenant-colonel de La Brosse : 1950-1952
Chef de bataillon Lacour : 1952
Lieutenant-colonel Maurel : 1952-1954
Lieutenant-colonel Thiers : 1954-1956
Lieutenant-colonel Cochet : 1956
Colonel Thiers : 1956-1957
Colonel Cochet : 1957-1958
Régiment d’infanterie chars de marine
Colonel Deysson : 1958-1959 *
Lieutenant-colonel Kerourio : 1959
Lieutenant-colonel de Gouvion-Saint-Cyr : 1959-1961
Lieutenant-colonel Kerourio : 1961
Lieutenant-colonel Dercourt : 1961-1963
Colonel Routier : 1963-1964
Colonel Pascal : 1964-1966
Colonel Duval : 1966-1968
Colonel Pierre : 1968-1970
Colonel Hiliquin : 1970-1972
Colonel Garen : 1972-1974
Lieutenant-colonel Fouilland : 1974-1976
Colonel Gibour : 1976-1978
Lieutenant-colonel Leroy : 1978-1980
Lieutenant-colonel Collignon : 1980-1982
Colonel Lagane : 1982-1984
Lieutenant-colonel Boutin : 1984-1986
Colonel Jean-Michel de Widerspach-Thor : 1986-1988 *
Colonel Henri Bentégeat : 1988-1990 **
Colonel Xavier de Zuchowicz : 1990-1992 *
Colonel Patrice Sartre : 1992-1994
Colonel Sandahl : 1994-1996
Colonel Pierre-Richard Kohn : 1996-1998
Colonel Arnaud Rives : 1998-2000
Colonel Dominique Artur : 2000-2002
Colonel Éric Bonnemaison : 2002-2004
Colonel Patrick Destremau : 2004-2006
Colonel Frédéric Garnier : 2006-2008
Colonel François Labuze : 2008-2010
Colonel Marc Conruyt : 2010-2012
Colonel Loic Mizon : 2012-2014
Colonel Etienne du Peyroux : 2014-
(*) Officier qui devint par la suite général de corps d’armée.
(**) Officier qui devint par la suite général d’armée.
Henri Bentégeat fut chef d’état-major des armées de 2002 à 2006.
Le RICM est composé :
4 escadrons de combat dotés de blindés à roues équipés d’un canon de 105 mm (AMX 10 RCR) :
1er escadron "Les phacos"
2e escadron "Les bucentaures"
3e escadron "Les coq"
4e escadron "Les mustangs"
1 escadron d’éclairage et d’investigation "Éclaireurs, toujours, marsouins, devant !"
1 escadron de commandement et de logistique "Les éléphants"
1 escadron de réserve (7e escadron "Les vedettes"
Véhicules
48 AMX 10 RC
32 VBL
30 VAB(véhicules de l’avant blindés)
Armement
FA-MAS F1 - Fusil d’assaut, calibre 5,56 mm OTAN
FN Minimi - Mitrailleuse légère, calibre 5,56 mm OTAN
Le régiment est subordonné à la9e brigade légère blindée de marine elle-même composante de la force d’action terrestre.
Stationnement
Joost van Vollenhoven (1877-1918), comme sergent, promu sous-lieutenant au début de la guerre, puis comme capitaine à la fin de la guerre. Fut gouverneur de l’Afrique-Occidentale française. Depuis 1963, la salle d’honneur du régiment est baptisée du nom de Joost van Vollenhoven.
Jean-Louis Delayen
sources wikipedia
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