mardi 18 septembre 2007, par
Le chef de l’état-major général polonais, Tadeusz Rozwadowski, soldat sorti des écoles militaires autrichiennes, de retour d’une mission militaire à Paris, savait que la position russe n’était pas aussi brillante qu’il semblait.
Toute invasion de la Pologne à partir de la Russie devait inévitablement emprunter deux axes assez éloignés l’un de l’autre. La route du nord, le long de laquelle progressait le front ouest de Toukhatchevski, était séparée de la Konarmiya sur le front S.-0.
par l’immense étendue des marais du Pripet. Bien que le terrain ne fût pas entièrement marécageux, les pistes étaient trop rares pour que l’on pût imaginer un important mouvement de troupes.
Les armées polonaises, se repliant de part et d’autre de cet obstacle naturel, amélioraient leurs communications tandis que la zone marécageuse se rétrécissait, ce qui augmentait d’autant leur capacité de s’épauler mutuellement.
Comme la guerre se rapprochait de Varsovie, le moment était venu pour une contre-offensive polonaise audacieuse. Plus la pénétration en Pologne serait profonde, plus les Russes seraient affaiblis.
sources mensuel Connaissance de l’Histoire 1977 1982 Hachette
Pour participer à ce forum, vous devez vous enregistrer au préalable. Merci d’indiquer ci-dessous l’identifiant personnel qui vous a été fourni. Si vous n’êtes pas enregistré, vous devez vous inscrire.
Derniers commentaires
par ZIELINSKI Richard
par Kiyo
par Marc
par Marc
par Marc
par Marc
par vikings76
par Marie
par philou412
par Gueherec