mercredi 19 septembre 2007, par
Bastogne encerclée
Dans le courant de la journée du 20, la bataille pour la ville augmenta d’intensité à la des attaques simultanées de la Panzer Le, de la 26e Volksgrenadierdivision. Aucune d’elles ne réussit, mais leur accroissement de puissance permettait de présager ce qui suivre. A la soirée, les deux Div. ennemis avaient encerclé la ville, la Panzer Lehr principe au sud-est d’une ligne imaginaire versant la ville du sud-ouest au nord-est, Volksgrenadier au nord-ouest de la m ligne. La lutte se poursuivit le 21, I ensuite, le 22, les Allemands commirent bévue de dimension.
côté ennemi, pensa que la position des Américains était sans issue et, vers midi, leur envoya quatre parlementaires. Venus par les lignes du 2’ Bn. du 327e, les Allemands remirent aux Américains l’ultimatum suivant : si la garnison américaine encerclée ne consentait à une reddition honorable dans un délai de deux heures, elle serait détruite par les feux massifs de l’artillerie allemande. La réponse de McAuliffe à cet ultimatum lui a valu la célébrité dans l’histoire militaire : « Nuts ! » Le lieutenant-colonel Ralph Harper, commandant le 327e, ne réussit pas à trouver de traduction idiomatique de la réponse de McAuliffe ; il se contenta donc de dire aux Allemands : « Allez au diable ! »
sources mensuel Connaissance de l’Histoire 1977 1982 Hachette
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